Trop courte

La vie est courte.
Trop courte pour négliger l’essentiel !  

Tout en étant convaincus de ne pas « posséder La vérité », nous attendons que nos « convictions » méritent respect. Et, à condition bien sûr qu’elles ne nuisent pas aux autres, la liberté de vivre ce qui nous tient à cœur doit nous être permise parce que c’est notre véritable richesse …

Or j’ai actuellement la certitude que la crise sociale et sanitaire que nous traversons trahit des valeurs de notre société. Non pas une banale erreur réparable mais une lourde méprise, semblable à la justification, en d’autres temps, de l’esclavage, du racisme ou de l’inquisition ! Si ces servitudes sont devenues aujourd’hui insupportables pour les pays dits démocratiques, nous devons bien reconnaitre que les états et les religions les ont cependant préconisées et utilisées autrefois en les disculpant ! Et je suis persuadé que beaucoup d’impératifs contemporains sont aussi injustifiés. Le mariage était indissoluble ; il a fallu attendre le 19ème siècle pour que le divorce soit autorisé en France … Le service militaire était obligatoire ; il a fallu attendre la fin de la guerre d’Algérie pour que l’objection de conscience soit reconnue et admise … Et maintenant encore, on impose des obligations qui paraissent banales et presque naturelles au plus grand nombre mais qui sont de véritables abus d’autorité ! Pourtant un acte commis avec contrainte, menace, surprise ou violence ne reste-il pas une agression ou même un viol ? Selon les cas, c’est bien un crime ou un délit !  

Comment peut-on contraindre quiconque ne le souhaite pas à subir un traitement ? On le conseille, on essaie de lui expliquer son intérêt mais jamais pour l’obliger. Alors que des parents ou des responsables manifestent responsabilités et amour à leurs enfants, même s’ils utilisent des procédés ancestraux ou qui semblent dépassés, peut-on se substituer à eux comme s’ils étaient négligents alors que ce n’est pas le cas, pour exiger d’autres méthodes éducatives ou procédés sanitaires ? Pour justifier cette question, il suffit de donner quelques exemples ou de relever certaines pratiques qui ont été largement utilisées : ainsi on a exterminé des peuplades parce qu’elles refusaient notre invasion coloniale ; on a même traité de « sauvages » des indiens qui respectaient toutefois la nature jusqu’à demander à un arbre ou un animal l’autorisation de les utiliser pour se nourrir ; on a interné de soi-disant malades psychiatriques parce qu’ils refusaient de se plier à des pratiques ; et on ose aujourd’hui accuser de complotistes des femmes et hommes courageux qui ne gênent leurs détracteurs que par leur droiture et leur honnêteté !…
Sous couvert du principe actuel « bénéfice/risque » qui semble incontournable, n’impose-t-on pas en réalité des pratiques de prophylaxie qui sont controversées et qui ne sont pas totalement sûres à court terme mais surtout à long terme … Sur quelles preuves indubitables s’appuient-elles pour devenir catégoriques ? Quand il s’agit de la santé d’autrui, on peut bien sûr les proposer mais a-t-on le droit de les prescrire ? Que certains soient suicidaires -même si nous avons le devoir de les aider- ne peut nous permettre de les contraindre en leur administrant une médication dont ils ne veulent pas. Ils méritent de toute façon au moins notre respect et si nous ne partageons pas leur point de vue, nous ne pouvons de toute façon leur infliger notre analyse. Ni comparer leur refus digne à des pratiques coutumières aussi indignes que l’excision. Aussi je souhaiterais que notre souci de l’autre se traduise concrètement davantage dans des domaines qui ne portent pas à controverse : offrir par exemple un toit à ceux qui sont dans la rue, une table à ceux qui ont faim, une écoute à ceux qui se sentent seuls !  

Les valeurs qui constituent notre colonne vertébrale et consolident notre socle de pensée évoluent peut-être un peu en fonction de notre âge et de notre cheminement mais elles restent la richesse de notre vie … Et on ne peut les renier, on ne peut les trahir sans perdre une partie de soi … On les assume alors avec une certaine fierté, on accepte leurs exigences parce que ces attitudes nous valorisent, cet essentiel nous nourrit, nous gratifie, est notre raison fondamentale de vie … C’est bien sûr vrai pour nous, vrai pour ceux que nous admirons et qui nous sont chers. C’est vrai aussi pour ceux que nous critiquons ou dont nous ne partageons pas les orientations. Pour cela, nous devons permettre à tous un réel libre choix pour respecter les convictions vitales de chacun, qu’elles soient d’ordre philosophique, spirituelle, humaine ou … sanitaire, en cette pandémie.                                                                                        
Pascal JACQUOT    

Deux dossiers pour étayer notre réflexion :


1) Je vous invite à découvrir cette vidéo pour en savoir plus (durée : 14 min)  :
« Le grand désordre hormonal;  Ce qui nous empoisonne à notre insu » :   Présentation avec TV5 Monde (qui est une chaîne du service public français); cliquer :
https://www.youtube.com/watch?v=UGeFrgmqxyE  A partir du livre  de Corinne LALO (19 €)

2 ) Extrait du média « Quartier Général » 12/12/2021 :
Tribune : « Une nouvelle religion vaccinale est née en Occident »
L’idéologie de la vaccination intégrale et répétée des populations est une sorte de nouvelle religion, avec son dieu, ses grands maîtres argentiers, ses dévots, ses techniques de propagande de masse et ses mensonges éhontés. En ouvrant désormais la voie à la vaccination des enfants et en créant par ailleurs entre les citoyens des discriminations inédites pour des régimes réputés démocratiques, elle viole des droits humains que l’on croyait « inaliénables » et dresse les citoyens les uns contre les autres. Plus de 1.500 universitaires, médecins et soignants alertent dans une tribune sur QG, le média libre : https://qg.media/2021/12/12/tribune-une-nouvelle-religion-vaccinale-est-nee-en-occident/

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